Mistletoes are hemiparasites that access water and nutrients from their hosts. Previous studies have suggested that host genera with high nitrogen are parasitized by more mistletoe species but these studies failed to take into account phylogenetic relationships among host genera. Our main question was whether more mistletoe species parasitize host genera with high nitrogen content when phylogenetic relationships were controlled. We also asked whether patterns in mistletoe parasitism were related to host geographic range size, host fruit type and host spinescence. Overall, we found no difference between conventional and phylogenetically controlled analyses. We also found no evidence for higher mistletoe species richness on host genera with high nitrogen, fleshy fruits or spinescence. However, similar to findings for animal parasites, we found that host genera with large geographic range had higher mistletoe species richness. This is likely because a greater number of mistletoe species will encounter hosts that have a greater geographic distribution. Mistletoe studies frequently assume that nitrogen status drives patterns in mistletoe parasitism but our study suggests that macroecological patterns in mistletoe assemblages are primarily determined by host geographic range. Le gui est un hémiparasite qui a accès à l'eau et aux nutriments de ses hôtes. Des études antérieures ont suggéré que les genres hôtes qui contiennent un fort taux d'azote sont parasités par plus d'espèces de gui, mais ces études n'ont pas pris en compte les relations phylogénétiques entre les genres hôtes. Notre question principale était de savoir si davantage d'espèces de gui parasitent des genres hôtes au contenu azoté élevé lorsque les relations phylogéniques sont sous contrôle. Nous avons aussi voulu savoir si les schémas du parasitisme par le gui étaient liés à la taille de l'aire de répartition, au type de fruit, et à la spinescence de l'hôte. Nulle part nous n'avons trouvé de différence entre les analyses conventionnelles et celles où les relations phylogéniques étaient contrôlées. Nous n'avons pas non plus trouvé de preuves d'une plus grande richesse en espèces de gui sur les genres hôtes ayant un taux d'azote élevé, des fruits charnus ou des épines. Mais, comme pour les animaux parasites, nous avons trouvé que les genres hôtes ayant une vaste répartition géographique avaient une plus grande richesse en espèces de gui. Ceci est probablement dû au fait qu'un plus grand nombre d'espèces de gui rencontrent des hôtes qui ont une plus grande distribution géographique. Les études sur le gui supposent souvent que c'est le statut de l'azote qui détermine le schéma du parasitisme par le gui, mais notre étude suggère que le schéma macroécologique des assemblages de gui est d'abord déterminé par la distribution géographique de l'hôte. Please note: The publisher is not responsible for the content or functionality of any supporting information supplied by the authors. Any queries (other than missing content) should be directed to the corresponding author for the article.