L’auteur présente quelques grandes figures des lettres colombiennes du xix e siècle, qui, en plus d’être écrivains et polyglottes, ont aussi été traducteurs. Ces intellectuels ont voulu faire entendre à leurs contemporains la voix de l’Autre et les mettre en contact avec de nouvelles idées et de nouvelles sensibilités de manière à ce qu’ils aient la chance de participer à la sensibilité universelle.